Il y a quelques jours, je vous annonçais la création officielle de la Société Vernienne de Vigo. Mais en réalité c'est hier 8 février 2012, jour anniversaire de la naissance de Jules Verne, qu'a eu lieu l'inauguration véritable de cette nouvelle association philanthropique. Diverses réjouissances étaient prévues, elles ont bien eu lieu et, comme vous allez pouvoir en juger, ce fut une belle journée...
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| Quelques membres fondateurs de la nouvelle Société Vernienne de Vigo, avec, au centre de la photo (ou à droite de Jules Verne), son Président M. Javier Viana. |
L'un des temps forts de cette belle journée a été le vibrant hommage rendu à Jules Verne devant la célèbre statue que la ville a érigée en son souvenir en 2005 (oeuvre de José Molares). Ce fut une cérémonie très émouvante. Pendant qu'un trompettiste entonnait l'hymne national français, une gerbe de fleurs, d'algues et de coquillages, était déposée au pied de cette statue par deux plongeurs venus d'un autre temps et des profondeurs de la baie.
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| Photos La Voz de Galicia |
Ensuite - car ce n'est pas fini loin de là ! -, une lecture publique a été faite du chapitre VIII de 20.000 Lieues sous les Mers (2e partie), un chapitre intitulé « La Baie de Vigo »,et qui est considéré par les Viguésiens comme l'un des textes qui a le plus fait connaître leur ville dans le monde. Comme l'a déclaré Javier Viana, le Président de cette nouvelle société Vernienne, à un journaliste qui couvrait l'événement : "Verne es un gran embajador de la ciudad." (Litt. "Verne est un grand ambassadeur de la ville").
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| Le café littéraire El Golem de Vigo |
Après cela, les convives se sont réunis dans le café littéraire El Golem, où ils ont passé la soirée à parler de Jules Verne bien sûr, tout en dégustant des "petits fours verniens" ("empanadillas vernianas") spécialement créés pour la circonstance et fourrés aux algues comme il se doit. Enfin, la soirée s'est terminée par la projection du film de Karel Zeman : L'Invention Diabolique... un film plus inspiré par Face au Drapeau que par 20.000 Lieues sous les Mers, comme chacun sait, mais cela ne fait rien, c'était très bien quand même !
Sur ce, on s'est quittés, heureux, la tête pleine de belles images, de courses folles sur tous les océans, d'aventures au bout du monde, de découvertes de mondes connus et inconnus... et en se faisant la promesse que, désormais, on ne ferait plus que des Voyages Extraordinaires.
Sur ce, on s'est quittés, heureux, la tête pleine de belles images, de courses folles sur tous les océans, d'aventures au bout du monde, de découvertes de mondes connus et inconnus... et en se faisant la promesse que, désormais, on ne ferait plus que des Voyages Extraordinaires.
2 commentaires:
Cher Passepartout,
M. Viana est à envier. c'est ce que "javier" à dire ! En plus des "vervianas" à déguster.
Cet hommage rendu au père de "20 000 lieues sous les mers" a dû faire des "valgues" et puis il y avait aussi Karel Zeman à l'affiche, "the man" qui enchante la vernocinéphilie car elle est source d'une telle poésie qu'il faut la faire connaître jusqu'au point Nemo. Une nemotechnique à tout jamais émergée dans la mémoire des lecteurs.
Didier.
Cher Passepartout,
M. Viana est à envier. c'est ce que "javier" à dire ! En plus des "vervianas" à déguster.
Cet hommage rendu au père de "20 000 lieues sous les mers" a dû faire des "valgues" et puis il y avait aussi Karel Zeman à l'affiche, "the man" qui enchante la vernocinéphilie car elle est source d'une telle poésie qu'il faut la faire connaître jusqu'au point Nemo. Une nemotechnique à tout jamais émergée dans la mémoire des lecteurs.
Didier.
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