Peut-on sérieusement envisager de se rendre in situ, au plus profond du noyau terrestre, pour vérifier sur place les connaissances acquises depuis la surface ? Bon nombre y ont déjà pensé... et pas seulement Jules Verne ! Voir sur Futura-Sciences cet article qui vient d'être mis en ligne par Roland Lehoucq, astrophysicien au commissariat à l'énergie atomique de Saclay.
1 commentaire:
Cher Passepartout,
Encore un roman qui culmine dans la mythologie vernienne !
Comme j'ai adoré ce récit qui me fera connaître plus tard et en amateur du dimanche les joies intérieures de la "spéléo' ! Loin d'être claustrophobe - il faut avouer, quand même, que la pression intérieure était tout aussi dense que la pression interne - loin d'être claustrophobe, je vivais avec beaucoup d'intensité ce genre de pratique sportive. L'oncle Jules n'était certainement pas étranger à cette jubilation. J'avoue que cavernes, grottes, gouffres et autres galeries me sont positivement des lieux de sérénité et non d'angoisse du point de vue de l'esprit et un peu du point de vue de l'explorateur en herbe que j'ai été. Bien sûr, descendre avec Axel et son oncle est plus aisé que d'organiser une expédition sur le terrain de l'aventure.
Axel, un prénom qui résonne ... un prénom vernien que j'ai offert à mon premier fils.
J'ai lu les articles de Roland Lehoucq qui, faisant une part belle à la science, refroidit notre bel enthousiasme fantasmatique nous rappelant à plus de réalisme. C'est son rôle de scientifique et il a raison de nous le démontrer car on serait bien tenté de croire notre oncle-découvreur en achevant la lecture de son roman.
Cette puissance évocatrice a, nul doute, fait rêver nombre d'enfants au siècle dernier.
J'ai, par ailleurs, étudié le film dont James Mason tenait la vedette dans les années 50; une très belle adaptation qui a captivé mon auditoire. Un joyau cinématographique dans son genre qui brille de ses mille feux. A voir ou à revoir.
Oui, un très beau roman que ce "Voyage". De beaux esprits. De somptueux paysages issus des forges de vulcain. De l'angoisse. De l'espoir ...
Un roman au centre de tous les intérêts et, à nos yeux verniens, loin d'être ... grotesque.
Bien à vous,
Didier.
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