"La première réaction du futur relecteur – car, pour la plupart
d’entre nous, lecteurs de Verne en nos jeunes années, il ne peut s’agir
que de relecture – est celle d’une joyeuse appétence : enfin, voilà
reconnu comme auteur mémorable un romancier qui a fait plus en faveur du
vice heureusement encore impuni de l’amateur de livres que son ami
Alexandre Dumas et son contemporain Hugo réunis ! Et pourtant, l’examen
long et minutieux du résultat aboutit à une déception légère mais nette.
Il convient d’expliquer pourquoi..."
La suite de cet article de l'écrivain et critique littéraire Maurice Mourier se trouve dans le dernier numéro de La Quinzaine Littéraire (n° 1064, du 1er au 15 juillet 2012, photo ci-contre), ou sur le blog de cette revue ICI.
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